Une Divine Surprise Suite 6
Dimanche 21 août 1960 Chez elle
Comme convenu jarrivais chez Evelyne vers 7,00 heures du soir, rangeais ma mobylette dans le garage à vélos. Personne dans lentrée de limmeuble, comme demandé je frappais (la sonnette faisant trop de bruit) la porte souvrit aussitôt, Evelyne devait être derrière. Aussitôt à lintérieur, dans la pièce que javais déjà connu quelque temps avant, nous étions lun contre lautre à nous embrasser, à nous frotter, en fait Evelyne avait lart de rouler des hanches, ce qui entrainait rapidement et immanquablement une enflure au niveau braguette, ce quelle semblait apprécier à chaque rencontre. Enfin nous nous décollâmes et je pus la regarder. La surprise. Elle portait un chemisier certainement une ou deux tailles en dessous. Le décolleté, très échancré, commençait à partir dun bouton fermé au niveau du dessous de la rotondité des seins, qui gonflaient généreusement le corsage, mais ne pouvaient pas sen échapper. Il était dun tissu presque transparent ce qui permettait de deviner le sombre des aréoles et tellement fin quil risquait dêtre percé sous la pression des mamelons, tellement ils étaient dressés. La minijupe noire, réellement mini avait été cousue sur elle et lui arrivait à mi cuisse, ce qui permettait dadmirer, non seulement son joli cul, mais aussi ses jolies cuisses, pas des cuisses de moineau, mais de belles cuisses. Enfin, elle était chaussée de ses éternels escarpins qui devaient bien lui faire gagner une dizaine de centimètres.
Moi : « Quelle élégance, tu me surprendras toujours par ton élégance hors des tenues au magasin »
« Cest vrai, au magasin cest un peu un uniforme, je ne pourrais pas mhabiller ainsi. »
« Moi, je te trouve superbe et excitante »
« Mon mari ma traité de tous les noms la première fois que jai voulu sortir avec. Il voulait que je la jette, mais je lai gardée pour une occasion. Elle cest présentée, cest toi et cest pour toi que je lai mise, jespérais que ça te plairait et je veux que tu passes, que nous passions une soirée inoubliable, car tu pars bientôt, je veux me soumettre à tous tes désirs, à toutes tes envies et à toutes mes envies »
« Tu es splendide, viens jai envie de libérer tes seins qui ne demandent quà prendre le large »
« Installes toi, jai préparé un apéritif, je vais le chercher, après, tout ce que tu voudras, jespère que tu auras de limagination, car moi jai dautres surprises pour toi, installes-toi, je reviens »
Elle partit en balançant son joli cul, je suis persuadé quelle augmenté volontairement ce balancement, qui était dautant plus suggestif, que la mini lenveloppait et quelle nentravait pas la démarche comme le faisait les jupes droites.
Quelques instants après : « Jarrive avec de quoi boire » En fait, elle avait ouvert son corsage, ses seins étaient libres et elle tenait un plateau sur lequel, il y avait 2 verres, mais le plateau était tenu à une telle hauteur que de ma place javais limpression que ses seins étaient posés dessus.
Je lui pris le plateau des mains, le posais sur la table et prenais en bouche ses seins disant : « Je préfère ça comme apéritif » et je moccupais sérieusement de ses rotondités les léchant, les suçant, se laissant faire et même me poussant à moccuper deux en les tenant à pleine main et me les présentant, les offrant à ma bouche : « Oui,
cest bon,
continues,
jaime quand tu les têtes,
continues,
», mais javais un autre idée en tête, celle daller voir plus bas, cest ce que je fis, avec sa mini, il métait facile datteindre son entrejambe, sa chatte. Cest ce que je fis, en arrivant dans sa chaude intimité, elle avança gentiment son bassin me permettant laccès à sa grotte damour était libre et sans entrave.
Elle était chaude et humide, même très humide, je la pénétrais sans précaution de deux doigts dans un souffle jentendis « Ooohhh,
Ouiiiiiii,
». Ma bouche buvait ses seins, mes doigts chauffaient sa chatte, son souffle suivait le rythme de mes entrées et sorties de sa grotte dégoulinante de plaisir. Ayant enfin descendu au niveau de ma braguette et en lutte pour louvrir dans un souffle elle me dit « Défais toi,
vite,
» Pantalon, caleçon, le tout fut éjecté, quand elle me poussa sur une chaise. Assis, ma hampe avait fière allure, elle menjamba et prit la chose en main et en me guidant vers sa grotte qui était toujours chaude, humide et ouverte car elle sempala sans une difficulté. Etant donné la position cest elle qui était à la manuvre et qui imposait son rythme. Je la tenais par les hanches quant à elle, elle montait et se laissant tomber sempalait sur ma hampe dressée fièrement, je ne faisais que subir, certes avec plaisir, mais en fait jétais son sextoy, comme on dirait maintenant et elle en jouissait pleinement.
Selon son désir je lui cramponnais les seins et je les malaxais avec énergie, ce qui ne semblait pas lincommoder bien au contraire. Je pense quelle aimait ce traitement, ses mamelons pointaient fièrement et étaient durs.
Tout dun coup le rythme ralentit, elle montait lentement et se laissait pénétrer avec une lenteur qui semblait étudiée. « Oh,
, je sens que ça vient,
je vais jouir,
, OUIIIIIIIiiii,
. » et elle eu un spasme aussi puissant que brutal, se cramponnant à mes épaules, resserrant ses cuisses, expirant et pratiquement en se pliant en deux. Javais, un tout petit peu plus tôt, déjà tout lâché et certainement rempli sa grotte de mon jus, il y avait, même, du avoir des débordements, car il y en avait partout. Pendant que la nature faisait son office et que reprenant mon souffle, je quittais sa grotte damour, elle resta contre moi à reprendre, elle aussi, son souffle.
Se remettant elle me dit : « Ce nétait pas ce que javais prévu comme apéritif »
Moi : « Cest celui que je préfère, jaimerais bien avoir une autre tournée »
Evelyne : « Tu as un verre devant toi, cest la tournée suivante et calmes toi, à ce rythme tu ne tiendras pas la soirée »
Moi : « Waouh, cest une invitation pour la soirée, on peut encore rêver ? »
Evelyne : « Je tai invité à diner, mais tu peux rester coucher ici »
Moi : « Dans mes rêves les plus fous cest que je souhaitais, passer la nuit avec toi »
Je me précipitais vers elle la prenais dans mes bras et lembrassais dans le cou tendrement. Elle accepta les baisers, puis séloigna : « Hope, hope, arrêtes, je sais comment ça commence et comment ça fini, je dois moccuper du diner.
Nous mangeons rapidement, le diner terminé, la table desservie, Evelyne séclipse dans la salle de bain en disant : « Cinq minutes, je reviens »
Avant le diner et pendant celui-ci javais vainement argumenté pour quEvelyne enlève complétement son corsage quand nous étions à table, elle navait accepté que daugmenter son décolleté dun bouton supplémentaire. Piètre victoire. En fait je réalisais que cette femme faisait exactement ce quelle voulait, comme elle le voulait et que tout bien considéré jétais un peu son « jouet ». Elle avait envie de se faire sauter, jétais arrivé au bon moment. En réfléchissant bien, mon coté « mâle » en avait pris un coup, mais en allant plus loin, je me disais « tu as eu une belle femme qui sest donné à toi, tu las fait jouir, elle ta fait jouir, alors que demander de plus, profites de ces moments ». Ainsi raisonné, le moral était remonté au beau fixe et « popol » avait des intentions visibles. Je me demandais ce que faisait Evelyne, alors quil ny avait aucun bruit, en fait perdu dans mes pensées, je navais peut-être pas prêté attention à ce qui se passait dans lappartement. Enfin une porte souvrit et Evelyne « apparut ».
« Wouahh, ». Alors là, la grosse surprise. Evelyne arrivait du fond de la pièce, vêtue, pour la forme, dun genre de sortie de bain, mais pas en gros tissu éponge blanc, non, en tissu fin noir absolument transparent, lui arrivant au haut des cuisses, disons pratiquement ras la touffe ce qui ne cachait rien et mettait en valeur ses seins, avec vue imprenable sur son triangle de poil entourant sa chatte, enfin en dessous elle avait un porte jarretelles et des bas noirs fins et était chaussée de mules à talons. Les cheveux libres encadrant son visage légèrement maquillé, une beauté.
Moi : « Quelle beauté, quel style, il ne manque que les projecteurs pour téclairer »
Evelyne : « Ça te plait, je lai acheté pour toi, tu seras le seul à me voir ainsi »
Moi : « Pourquoi, tu es très excitante ainsi et cela te mets en valeur »
Evelyne : « Nen parlons plus, viens, je veux profiter de toi »
Je mapprochais delle et la prenais dans mes bras, sans hésiter elle se colla à moi, son roulement de hanches commença et dans loreille elle me dit, non elle me murmura : « Ne parles plus,
prends moi,
comme tu veux,
cette nuit est à nous,
je veux être à toi,
je veux que tu me fasses jouir,
ne cherches rien,
je suis là avec toi, je te veux,
je veux te sentir me prendre,
, oui,
».
Elle sassit sur le lit, ma tige étant à sa hauteur, elle la prit en bouche et commença à me pomper avec ardeur suivit de coups de langue sur le gland, ce qui augmenta la pression, pour enfin me dire :: « Je pense que tu es est prêt,
». Alors elle enleva sa nuisette et nue avec seulement son porte jarretelle et ses bas, elle se coucha écarta les jambes et « Viens, je suis prête,
je suis toute excitée,
bonne à consommer de suite,
je veux tes lèvres,
tes doigts,
fais moi jouir,
baises moi,
je suis ta garce, qui te veux,
viens lécher ma chatte,
». Je m exécutais, les cuisses largement ouvertes et sa chatte gonflée et luisante de mouille. Plongeant entre ses cuisses bien ouvertes, je reprenais le travail laissé en suspend quelques minutes plus tôt, mais avec de nouvelles consignes : « OUIIIII, tes doigts pour me préparer à ton arrivée et me faire couler,
oui comme ça,
enfonces moi,
tes lèvres pour me lécher et me boire,
OOOhhh
OUIIIIII,
encore,
cest bon,
continues,
». Avec deux doigts, je moccupais sérieusement de sa chatte et mon pouce tentait quelques incursions dans sa rosette, que javais remplie de mouille avant. Je moccupais de ses deux trous, au son, elle semblait apprécier. Puis vint : « Tu aimes,
dis moi que tu aimes,
viens prends moi,
je suis ta femelle,
je ne suis plus quun sexe,
Viens, prends moi,
». Alors que jallais passer sur elle, elle marrêta : « Attends,
pas comme ça,
» et elle se retourna, se mit en levrette, avec la tête dans loreiller le cul bien en évidence, « je veux que tu me montes,
jai envie dêtre montée,
prends moi comme ça,
je suis ta chienne,
monte la,
» alors que je mapprochais, elle prit ma tige et la guida vers sa moule, chaude et humide et cramponné à ces hanches je la baisée avec énergie et application.
Evelyne toujours son joli cul en lair et pendant que je mappliquais à la baiser, posa ses mains sur ses fesses et les écarta, me montrant sa raie bien ouverte, aussi sa jolie rosette. « Ça te plait toujours autant, comme ça ». Me dit telle.
Moi : « Oui, tas toujours un joli cul »
Evelyne : « Tu le veux, ...prends le,
je savais que tu le voudrais,
je me suis préparée ce week-end pour te loffrir,
». Honnêtement, je fus surpris, dautant que ma hampe coulissait à merveille dans sa moule, mais je fus rapidement rappelé à la réalité. « Alors,
tous les hommes aiment nous prendre par là,
oui,
viens,
encules moi,
oui, jen ai envie,
». Je me positionnais : « Rentres doucement que je mhabitue,
oui, comme ça,
OOOHHH, tes gros,
doucement,
OOOHHH,
ça y est,
». Effectivement, elle mavait complètement absorbé et jétais sous pression, il fallait que je méclate dans son cul ou ailleurs, jy allais donc à grands coups de reins, ce qui dailleurs était apprécié par ma partenaire, qui ne cessait de mencourager dans la voie quelle avait choisie, celle de son joli cul, et je me rendis compte que pendant que je la sodomisais, sa main droite cétait dirigée entre ses cuisses et avait entrepris de caresser sa chatte, en fait pendant que je moccupais de sa rosette, elle soccupait activement de son abricot et se branlait, là plus de paroles, elle devait intérioriser son plaisir car si elle sactivait dans sa chatte, moi jen faisais autant son joli cul. Dun seul coup elle cramponna loreiller, eut un spasme brutal, avec un « OOOHHH,
OUIIIII,
» elle resserra les cuisses, heureusement jétais entre, car je navais pas fini, étant donné quune heure avant elle mavait vidé, cependant la pression montait, je bandais dur et il me fallait vider la réserve, mais étant donné quelle avait abandonné son abricot, je quittais sa rosette et me dirigeais vers sa chatte que je préférais à son joli cul, le fourreau était plus ouvert plus accueillant et surtout mieux lubrifié. A ce changement, Il me sembla que la pénétration dans sa chatte ne fut pas trop appréciée: « OOHH, non,
arrêtes,
arrêtes STP
», disant cela elle remua du cul comme si elle voulait se dégager de ma queue encore gonflée et qui ne demandait quune chose den finir en se libérant son jus. Mais jétais cramponné à ses hanches et je la baisais à grands coups de reins. Evelyne de nouveau remua du cul, agacé, je lui collais une grande tape sur les fesses, ce qui entraina une contraction agréable et : « Salaud,
, arrêtes,
» mais je ne pouvais marrêter, il fallait que je me vide et jétais au bord de lexplosion, de nouveau un coup de cul, suivi de ma part dune claque sur les fesses, et une nouvelle contraction du corps de ma partenaire et dun : « Salaud tu profites,
, OOOHHH, OUIIII
, encore,
, je sens que tu vas me faire jouir,
ouiIII, encore,
», vue les réactions tant du corps que des paroles, jabusais et de nouveau une claque sur lautre fesse : « OOOOOHHHHH,
., ne tarrêtes je vais jouir,
OUIIII,
, OUIIIIII,
»,enfin le plaisir était monté et je crachais tout mon jus, dans ma partenaire, qui extériorisait son plaisir par une série de spasmes, moins forts que les précédents mais plus nombreux. « Prends moi dans tes bras et fais moi faire un câlin, et tu partiras ». Il ne fallut que peu de temps avant quEvelyne ne sendormit et moi ensuite en fait nous nous écroulâmes fatigués, vidés.
Dans le courant de la nuit en fait vers trois heures du matin, Evelyne sétait collé contre moi et cela mavait réveillé, je navais pas lhabitude de partager mon lit avec une autre personne, sa présence me réveilla, et je réalisais où jétais, et javais limpression que des mains parcouraient mon sexe et que celui-ci grossissait de façon démesurée, ce qui me réveilla.
En fait, encore à moitié endormi, je constatais que si mon sexe grossissait cest queffectivement Evelyne sen occupait et me caressait du bout de ses doigts, puis létat devant la satisfaire elle entreprit de me lécher la tige avant de la prendre en bouche, suçant le gland comme elle aurait sucé, léché une glace, ce qui eut pour effet de me réveiller complétement. Sentant cela, Evelyne arrêta (dommage) et remonta, enfin collé contre moi, elle me dit dans un souffle : « Jean,
, aimes moi,
, je voudrais que tu maimes,
oui, jaime le sexe, je suis gourmande de sexe,
tu as su me satisfaire., montres moi que tu peux être aussi un amant attentionné et doux,
fais moi lamour,
je voudrais que tu maimes,
fais moi lamour
, viens, aimes moi,
».
Sur le moment je ne comprenais pas clairement ce quelle voulait que lon fasse, je le compris ultérieurement, avant on avait baisé, cétait physique, maintenant, on faisait lamour, il fallait du sentiment. Mais étant donné sa position, sur le dos et les cuisses bien ouvertes Je prenais position sur elle entre ses cuisses, elle me saisit et me guida en elle. Mayant encerclé de ses jambes, elle se cambra pour mieux se faire pénétrer. Elle était ouverte, chaude, ruisselante de plaisir : « Je tattendais,
je me suis donné à toi,
, je savais que tu saurais me faire lamour,
, ouiIII,
, prends moi,
jaime te sentir me prendre,
., donnes moi du plaisir,
je ten donnerais
»
Bien enfoncé dans sa chatte, je décidais avant de lancer une sérieuse offensive sur et dans sa grotte, de moccuper de ses seins qui se trouvaient à portée de bouche, ce que jentrepris systématiquement les léchant puis les aspirant, le gauche puis le droit, et je recommençais. Puis jabandonnais ces jolies rotondités pour me consacrer à son fourreau bien chaud et bien lubrifié où ma tige coulissait pour le plaisir de sa détentrice quelle manifestait bruyamment et pour mon plaisir : « Oui,
continues,
aimes moi fort,
plus vite,
je sens que ça vient,
OUIIII,
continues, remplis moi de toi,
». Je mactivais au mieux, pour la satisfaire et pour mon orgueil lentendre le dire, quand elle partit dun seul coup : « OUIIIII,
cest bon,
OUIIIII,
OOOOHHH, je jouis, ...», non seulement je lentendis, mais elle se cambra brutalement en saccrochant à mes épaules, laissant dans mon dos quatre belles griffures et de nouveau nous sombrâmes dans un sommeil réparateur.
Le matin vers 7,00 heures nous émergeâmes difficilement. Evelyne me voyant émerger, se pencha sur moi, mis un doigt sur ma bouche et me dit : « Tais toi, dors, je reviens ». Surpris je fis ce quon me dit et fermais les yeux, enfin à demi. Jeu alors lexplication. Au saut du lit Evelyne nétait plu la « pin up » du soir, les cheveux en bataille, un bas en tirebouchon,
le drame pour chacun dentre nous au réveil après une nuit un peu agitée. Une petite demi-heure plus tard Evelyne arrivait et me réveillait. Elle était fraiche, recoiffée légèrement maquillée et vêtue dune sortie de bain, fermée par une ceinture, lui arrivant à mi cuisse, lensemble malgré tout sexy. « Allez, lèves toi, gros paresseux, tu peux prendre une douche pendant que je prépare le petit déjeuner ». Exécution, et pendant que je me refaisais une beauté ( ???) deux questions me tarabustaient, la première était que dans un moment jallais devoir dire « au revoir » ou même « adieu » à Evelyne, comment devais-je my prendre ? La deuxième étant, à mon avis, liée. Evelyne était vêtue de cette sortie de bain que je trouvais sexy. En principe, pour moi, après la douche on shabille pour la journée, on ne se vêt pas dune sortie de bain. Doù le problème, était-elle nue sous sa sortie de bains ? Si la réponse était positive. Est-ce que ce serait une invite discrète pour quelques caresses avant un départ,??? Et comment aborder ce départ en tenant compte de la sortie de bains et quand même dun minimum de courtoisie après ce qui cétait passé entre nous. Certes, jétais pratiquement certain de lui avoir donné du plaisir au même titre quelle sétait donné du plaisir en men donnant. Dans cet état desprit je me présentais pour le petit déjeuner. Celui-ci terminé Evelyne regardant sa montre me dit, « On va se séparer tu pourras partir, il ny aura plus personne, tout le monde doit être parti au travail ». Je mapprochais delle, la prenant dans mes bras et la serrant fort, je lembrassais. Il y eut un instant de résistance, mais les lèvres sentrouvrirent, puis souvrirent et nos langues se retrouvèrent, je quittais ses lèvres pour son cou, il y eut dans un souffle un « OOOHHH » langoureux. Laffaire me paraissait être en bonne voie, et je pensais quil faillait aller de lavant. Du cou, je descendais dans le décolleté cherchant les deux belles rotondités qui me semblaient vouloir percer le tissu. Sans difficultés jatteignais leur agréable souplesse, ceci avec laide discrète dEvelyne qui avait laissé souvrir plus largement son décolleté, sans pour autant dénuder ses jolis seins, il fallait progresser lentement, mais à chaque prise en bouche un « OOOHHH » donnait son assentiment à la chose. Dautant quelle avait la ou les mains sur ma tête et me guidait vers lun ou lautre de ses « jolis nénés ». Ma bouche soccupant activement du haut, je décidais de laisser glisser ma main droite vers le bas afin dy atteindre son intimité, qui, jespérais serait nue et accessible. Jécartais les pans de la sortie de bains et atteignais son abricot, avec à aussi laide discrète de ma partenaire, qui avait légèrement, très légèrement mais suffisamment écarté les cuisses et avancé imperceptiblement son bassin ce qui me permit datteindre le but. Là, de ma main, je couvris complètement sa chatte, là tenant bien au chaud. Cette incursion eut droit à son « OOOHHH » discret. Lentement de mon majeur je remontais le sillon de sa moule, puis je redescendais, à chaque passage, je menfonçais un tout petit peu plus ce qui entrainait une augmentation importante de son humidité, mais déclencha aussi, un genre de mécontentement chez Evelyne : « Arrêtes,
STP, arrêtes,
ou rentres,
tu veux que je te le demande de prendre ainsi,
oui, rentres, prends moi, jen ai envie,
». Demandé comme cela je ne pouvais refuser dautant quelle avait largement écartée les cuisses et son bassin sétait propulsé sur mes doigts, qui se mouvaient dans des va et vient frénétiques, il fallait la faire « grimper aux rideaux » et je my employais, les seins tétés, la chatte travaillée en effervescence, tant et si bien que : « Oui,
continues,
, OOOHHH OUIIII, cest bon,
OUIIII,
défonces moi avec tes doigts,
, jaime,
je sens que ça vient,
, ne tarrêtes,
, OUIIIIIII,
, continues,
, OOOOHHHH,
.». Elle eut un gros spasme qui la projetée en avant, puis deux plus petits qui lui firent fermer les cuisses, coinçant de ce fait ma main dans son intimité. Enfin reprenant ses esprits, elle se laissa glisser à mes pieds en disant : « A moi de moccuper de toi », alors que je voulais me défaire : « Laisses moi faire, je veux sortir moi même ton engin, jaime le sentir dans ma main,
». Elle défit pantalon et caleçon dont elle dégagea lengin comme elle dit. Avant de commencer à lécher ma trique et la prendre en bouche elle me caressa du bout des doigts elle ne fit quaugmenter la pression. Javais limpression davoir un engin qui allait exploser. Enfin elle se mit à sucer mon gland, sa langue le parcourant, le léchant puis avalant ma tige, laspirant, javais un fourreau chaud et humide qui enveloppait et parcourait mon sexe et sa langue titillant le gland avec douceur et ses doigts continuant à me caresser. Il ne fallut pas longtemps pour sentir que la pression montait et que, malgré les excès de la nuit, rapidement jallais cracher mon jus. Je la prévenais, mais cela ne fit quaugmenter lactivité de sa bouche et de sa langue sur « popol », qui ny tenant se soulagea dans la bouche dEvelyne qui absorba tout ce qui était mis à sa disposition. Métant soulagé, elle prit ma tige en main et un dernier coup de langue sur le gland termina lopération. Se relevant, elle se colla contre moi et me dit : « Va-t-en,
vite,
stp,
»
Je filais chercher ma mobylette et en sortant, jétais obligé de passer devant la fenêtre de la salle à manger du logement dEvelyne. Jetant un dernier regard, il me sembla voir la silhouette dEvelyne sur le coté de la fenêtre, mais mon imagination avait du bien travailler.
Je rentrais donc au campus, fatigué, mais je devais me préparer à partir le lendemain, en emmenant toutes mes affaires (une cantine) et nettoyer la chambre pour la remettre au responsable.
Le lendemain, avec un copain ayant la même destination nous avions décidé de faire route ensemble dans sa 2CV. Après avoir remis les clés des chambres, chargés la voiture, on devait passer au magasin pour que je puisse faire mes adieux. Jarrivais au magasin Odile était là et naturellement je me renseignais pour aller saluer tout le monde, le patron était absent ainsi quEvelyne. Je minquiétais de son absence quand Odile me dit : « Tu ne las pas vue dernièrement »
Moi : (Après une hésitation due à la surprise) « Non, pourquoi ? »
Odile : « Depuis 5 ans que je travaille avec elle, elle na jamais manqué une seule fois et depuis ses derniers quinze jours non seulement elle nest pas comme dhabitude, mais en plus elle sest absentée la semaine dernier et aujourdhui elle ma fait savoir quelle nétait pas bien. Je minquiétais ? »
Moi : « Désolé, si tu la vois souhaite lui de se rétablir rapidement »
Et nous prîmes la route.
Un an après je repassais par Lyon pour entre autres revoir des copains et naturellement je passais au magasin. Cest Odile qui maccueillit. Je demandais des nouvelles de tout le monde et dEvelyne, cest ainsi que jappris quelle avait quitté son travail et quelle avait divorcée, ayant appris, daprès Odile, que son mari avait une maitresse !!!!
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